Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
11 septembre 2010 6 11 /09 /septembre /2010 16:50

A noter sur vos agendas, ce débat organisé et animé par Jean-Claude Noyé, administrateur des JNE (Association des journalistes et écrivains pour la nature et l'écologie), le 16 septembre à 19 h, à la mairie du 2e arrondissement de Paris, 8 rue de la Banque 75002.


http://www.marcgiraud-nature.net/images/jne.gif

 

"Décroissance ou croissance verte ? Peut-on être écologiste et productiviste ?"

 

Avec :

Jean-Paul Besset (député européen, Europe Ecologie)

Jacques Boutault (maire du 2e arrondissement de Paris, Les Verts)

Bettina Laville (avocate, conseiller d'état en disponibilité, PS)

Philippe Bodard (maire de Mûrs-Erigné, PS)

Serge Lepeltier (maire de Bourges, Parti Radical)

Vincent Liégey, pdt de l'Association des Objecteurs de Croissance (AdOC)

 

 Ex-rédacteur en chef de l’hebdomadaire "Politis", puis, pendant 10 ans, du quotidien "Le Monde", Jean-Paul Besset dessine, en 2005, dans "Comment ne plus être progressiste sans devenir réactionnaire", les voies d'une logique économique et sociale fondée sur la décroissance de l'empreinte écologique, le partage des ressources et le respect des équilibres naturels. Convaincu que la croissance est une machine à produire des inégalités, alors que la décroissance matérielle s'inscrit dans une logique de partage, il est aujourd'hui député européen élu sur la liste Europe Ecologie.

 

Co-fondateur du premier Comité d'Action Lycéen, en 1978, Jacques Boutault  a d’abord milité dans des associations comme Droits Devant !!, Greenpeace, les Amis de la Terre, Attac. Journaliste pendant 10 ans et membre du Parti des Verts depuis 1997, il a été élu maire du II°  arrondissement de Paris en 2001 avec un programme axé sur l'amélioration de la circulation, le logement social, la mise en place de menus bio dans les cantines scolaires, le travail avec les associations.

 

 

Avocate et conseiller d’état en disponibilité, Bettina Laville est fondatrice et présidente d'honneur du Comité 21. Elle siège au conseil d'administration de plusieurs ONG oeuvrant pour le développement durable. Elle a été conseiller technique au cabinet de plusieurs ministres. Conseiller pour l'environnement et l'aménagement du territoire auprès du Premier ministre Lionel Jospin (1997-2001) elle a aussi été secrétaire générale de la Commission française du Développement Durable. Elle a été conseillère régionale de Bourgogne (PS) de 1998 à 2005.

         

 

Conseiller général du Maine-et-Loire, Philippe Bodard est maire PS depuis 1995 de Mûrs-Erigné, une ville de 5500 habitants, près d'Angers. Vice-président de l'Association des petites villes de France (APVF), il promeut dans sa commune une politique environnementale "solidaire" : construction de logements HLM bois, pose  de capteurs photovoltaïquessjr ceux-ci et sur les écoles, réduction de la consommation énergétique des bâtiments publics, plantation de 600 arbres par an, arrêté anti OGM et aujourd'hui un Plan énergie climat communal.

 

 

Serge Lepeltier a d'abord rejoint l'UDR (le futur RPR qui deviendra l'UMP), puis, en 2005, le Parti radical valoisien, dont il est le vice-président et porte parole. Elu  maire de Bourges en 1995, il est depuis resté à la tête de cette commune.  Entre 2004 et 2005, il a été ministre de l'Écologie, du Développement et de l'Aménagement Durables.  A ce poste, il a oeuvré pour l'adoption de la Charte de l'Environnement dans la constitution, la création du Parc national de Guyane, le plan de réintroduction des ours dans les Pyrénées et la transposition des directives européennes dans le domaine du développement durable.

 

Vincent Liégey est le porte-parole/président de l'Association des Objecteurs de Croissance (AdOC). La politisation du mouvement de la décroissance date de 2005 quand Vincent Cheynet, le leader des Casseurs de pub et directeur du journal "La Décroisance", fonde le Parti pour la Décroissance (PPLD). Ce dernier est relancé en 2008  et participe aux élections européennes de 2009 à travers la campagne Europe-Décroissance  (0,04 % des voix). En septembre de la même année, le Mouvement des Objecteurs de Croissance  et le PPLD co-fondent l’Association des objecteurs de croissance (Adoc). Celle-ci entend valoriser populariser la radicalité et la cohérence de l’objection de croissance, perçue comme le seul vrai remède à la crise globale (crise de civilisation) à laquelle nous sommes confrontés.

 

 

 

 

 

Partager cet article
Repost0
9 septembre 2010 4 09 /09 /septembre /2010 16:51

Triste paradoxe : alors que l'actualité de ces derniers mois, entre marée noire du Golfe du Mexique et incendies en Russie, vérifie tragiquement la pertinence de leurs cris d'alarme, les écologistes français semblent avoir choisi pour les représenter à la présidentielle de 2012 une candidate, Eva Joly, dont l'une des caractéristiques est de parler très peu d'écologie...

 

http://www.durable.com/var/user/h/Europe_Ecologie.jpg

 

Intarrissable sur la lutte contre la corruption, l'affaire Woerth-Bettencourt ou la réforme du système financier international (sujets dont je ne nie certes pas l'importance), Eva Joly reste en revanche peu diserte sur la lutte contre le bouleversement climatique ou la défense de la biodiversité (dont c'est pourtant l'année !).

 

On se demande par quelle aberration (ou plutôt, rapport de force interne...) un mouvement traditionnellement anti-autoritaire et rétif à la répression s'apprête à introniser une personnalité qui, selon la formule (un peu excessive, je le reconnais...) d'Alain Duhamel dans Libération, rêve de mettre la moitié de la France en prison...

 

Ce probable "déficit" écologique de la candidature Eva Joly pourrait réveiller, au sein des Verts, les ambitions d'un Yves Cochet, qui, malgré son discours "décroissant" souvent excessif, pourrait se poser en candidat authentiquement écologiste.

 

La situation pourrait aussi décider Nicolas Hulot à sortir du bois, ou favoriser une candidature écolo-centriste de Corinne Lepage, voire de Jean-Louis Borloo...

 

Bref, les scénarios de 2012 ne sont pas encore écrits. Vos avis sont attendus !

Partager cet article
Repost0
22 août 2010 7 22 /08 /août /2010 15:10

Les journées d'été des Verts-Europe Ecologie, qui se tenaient à Nantes du 19 au 21 août 2010, ont confirmé la tendance des Verts à se complaire dans un discours radical ("anticapitalisme", "antilibéralisme"...) qui sert de paravent à une pratique politique réformiste dans les municipalités et les régions où ils partagent le pouvoir.

 

http://referentiel.nouvelobs.com/file/1067868.jpg

 

Pour les Verts, l'emploi de tels termes codés semble destiné autant à se rassurer eux-mêmes qu'à marquer leur appartenance indéfectible au camp de la gauche.

 

Tout au long du week-end, les leaders Verts, qui affichaient naguère leurs querelles sur la place publique, se sont évertués à cultiver un unanimisme de façade. A l'image de Noël Mamère qui, le 19 août sur France Inter, affirmait que la fusion entre les Verts et Europe Ecologie était quasiment faite et que tout allait pour le mieux dans le meilleur des mondes verts. Un modèle de langue de bois écologique...

 

Pourtant, les coups de gueule de Daniel Cohn-Bendit et les réserves de Corinne Lepage ont montré des divergences tant sur le fond (voir cet article du Monde) que sur le caractère automatique et inconditionnel de l'alliance avec la gauche.

 

Avec Eva Joly, les écologistes bénéficient certes d'une candidate respectable et respectée. Mais chacun sent bien que ce recours à une personnalité extérieure est un choix par défaut, qui permet d'occulter pour un temps les divergences internes.

 

Plus inquiétant, les nombreuses interviews données ces derniers jours par Eva Joly confirment ce que l'on pressentait, à savoir que la crise écologique et climatique n'est pas au centre de ses préoccupations. Une candidate écologiste parlant avec éloquence de lutte anti-corruption et de réforme du système financier international, mais très peu d'énergie, d'effet de serre ou de biodiversité, et reprenant complaisamment le radicalisme verbal d'une partie des Verts, tiendra-t-elle la route ?

 

Certes, ce "déficit" d'Eva Joly sur les thèmes écologiques pourrait être en partie contrebalancé par son éventuel "ticket" avec Cécile Duflot, qui, elle, a le mérite de centrer son discours sur l'écologie. Mais ce duo risquerait alors de mettre en avant une écologie punitive, attachée à sanctionner les contrevenants, financiers ou climatiques, plutôt qu'à encourager les comportements vertueux.

 

Mais peut-être la discrétion d'Eva Joly sur les thèmes écologistes est-elle à imputer en partie aux journalistes qui préfèrent l'interroger sur la "politique politicienne" plutôt que sur la marée noire du Golf'e du Mexique ou les dangers de pesticides... Faut-il lui accorder le bénéfice du doute ? Vos avis sont les bienvenus !

 

Share on Twitter

Partager cet article
Repost0
15 août 2010 7 15 /08 /août /2010 16:38

Selon le JDD du 15 août 2010, les Verts seraient sur le point de se mettre d'accord sur un ticket Eva Joly-Cécile Duflot pour la présidentielle de 2012. Face à ce duo de choc, une alliance inattendue "big moustache" Bové-Arthus-Bertrand pourrait se profiler...

 

http://img43.imageshack.us/img43/7913/lagrandevadrouille.jpg

 

 

Eva Joly et Cécile Duflot ont en commun une absolue certitude d'avoir toujours raison et de donner des leçons de morale à la terre entière.

 

Face à ce duo de choc, face auquel on se sent par avance coupable, un ticket "big moustache" (à droite sur la photo ci-dessus) pourrait se profiler, avec une alliance improbable entre deux célèbres porteurs de bacchantes, José Bové et Yann Arthus-Bertrand.

 

Absurde, direz-vous ? Pas tout à fait puisque José Bové a indiqué sur Europe1 avoir passé quelques jours de vacances avec l'illustre "hélicologiste"...

 

Il ne manque plus que Noël Mamère pour que cette fine équipe pas démago pour un sou soit au poil...

 

Alors, lequel de ces deux tickets préférez-vous ? Ou est-ce pour vous blanc bonnet et bonnet blanc ? Le débat est ouvert !

Partager cet article
Repost0
5 août 2010 4 05 /08 /août /2010 10:28

Face au bouleversement climatique et à la crise écologique, la solution n'est ni la « croissance verte », ni la décroissance.


http://bdm.typepad.com/.a/6a00d83451957369e20134804333ed970c-800wi

 

Telle est la thèse iconoclaste défendue dans Prospérité sans croissance - La transition vers une économie durable, le dernier livre de Tim Jackson, professeur de développement durable au Centre for Environmental strategy (CES) à l’Université du Surrey (Royaume-Uni). Pour cet économiste, la croissance verte est incapable de permettre la réduction des émissions de gaz à effet de serre indispensable pour lutter contre le réchauffement climatique.

 

Mais Tim Jackson ne croit pas davantage aux vertus de la décroissance et de la « sortie du capitalisme », slogan simpliste à ses yeux. Pour lui, l'issue viendra d'une « économie durable », ou « résiliente », qui minimisera son impact sur le climat, la nature et les ressources non renouvelables.

 

Tim Jackson ne se contente pas de fixer cet objectif, mais lance des pistes pour y parvenir. La transition devrait être à la fois économique (via, par exemple, des plafonds d'émissions et de ressources et une réforme fiscale) et sociale. Car il nous faut sortir de la logique du consumérisme.

 

Autrement dit, ce n'est pas seulement le système économique qu'il faut changer, en donnant la priorité au long terme contre le court terme, mais aussi nos modes de vie, en recherchant les voies d'un hédonisme durable.

 

En résumé, un livre passionnant et riche, dont on espère qu'il suscitera réflexions et débats.

 

Editions De Boeck, collection Planète en jeu, 250 pages, 17 euros - www.deboeck.com

 

Critique parue sur le site des JNE.

 

Share  

Share on Twitter

Partager cet article
Repost0
3 août 2010 2 03 /08 /août /2010 11:06

Frédéric Denhez, journaliste et écrivain, vient de publier un livre diablement passionnant et iconoclaste : La fabrique de nos peurs, aux Editions François Bourin. Il y réfute tant le catastrophisme systématique que les discours faussement rassurants.

 

http://www.bourin-editeur.fr/uploads/pictures/livres/6e1bb8d6b0160e4f3d99b9d541e1afed.jpg

 

Voici ma critique mise en ligne sur le site des JNE.

 

OGM, ondes électromagnétiques, nanotechnologies, changement climatique, déchets nucléaires... Dans ce livre passionné, Frédéric Denhez, diplômé en ingénierie de l'environnement et auteur (entre autres) de l'Atlas du changement climatique (éd. Autrement) cherche à démêler, parmi nos peurs multiples, les vrais risques des faux dangers.

 

Une tâche difficile car l'évaluation de l'impact des technologies sur notre santé et sur la société manque cruellement de moyens et s'avère d'autant plus difficile à déterminer que les doses en jeu (notamment pour les ondes ou la pollution radioactive) sont très faibles.

 

Frédéric Denhez souligne aussi que nos peurs, jamais tout à fait infondées, sont parfois mal placées. Ainsi, l'élévation du niveau des mers ne se traduira pas par des vagues géantes, mais par une montée progressive. De même, beaucoup d'opposants se polarisent sur les antennes-relais, alors que les téléphones portables eux-mêmes, placés par nos soins à proximité immédiate de notre cerveau, sont a priori infiniment plus dangereux.

 

Pour Frédéric Denhez, la téléphonie mobile, la chimie, les nanotechnologies ou même les OGM ou le nucléaire ne sont pas à rejeter systématiquement, mais doivent être contrôlés en fonction de leurs dangers et de leur (in)utilité sociale. Une démarche balancée qui lui vaudra sans doute les foudres de quelques intégristes verts... Et cela d'autant plus qu'il démonte, éléments à l'appui, les prévisions apocalyptiques de certains sur la « bombe population ».

 

En conclusion, Frédéric Denhez, après nous avoir rappelé que nous aimons avoir peur, estime que nos peurs, même si elles ne sont pas toujours fondées, ne sont jamais inutiles, car elles nous forcent à la précaution.

 

Editions François Bourin, 290 p., 20 euros.

 

Et vous, que pensez-vous de ce livre ? N'hésitez pas à réagir !


Share  

Share on Twitter

Partager cet article
Repost0
28 juillet 2010 3 28 /07 /juillet /2010 16:05
Tamara Drewe, film plein de verve de Stephen Frears (actuellement dans les salles en France), nous dépeint une countryside anglaise sous influence bobo-écolo.

http://photo.parismatch.com/festival-de-cannes/2010/fiches-film/hors-competition/tamara-drewe/1606493-1-fre-FR/Tamara-Drewe_affiche_fiche_cine.jpg

 

L'histoire est centrée dans une maison d'hôtes de luxe du Devon, où des écrivains en quête de calme ou d'inspiration bénéficient d'un régime à base de légumes bio du jardin, sous la figure tutélaire de Thomas Hardy.

 

Tamara Drewe se rapproche ainsi du prémonitoire L'arbre, le maire et la médiathèque d'Eric Rohmer (1992), où l'écologie urbaine était déjà bien implantée à la campagne.

 

Mais Tamara Drewe n'est pas seulement une fable ironique sur les "rurbains" étudiés chez nous par le sociologue Jean Viard. Ce film nous montre aussi avec ironie un monde où tout le monde (à tort souvent) se croit doué pour l'écriture.


Inspiré d'une BD célèbre outre-Manche, ce film est cependant handicapé par ses personnages, certes truculents, mais toujours (comme c'est le cas dans les bandes dessinées) à la limite de la caricature. Ou du manque de consistance, à l'image de son héroïne très craquante dans son short ultra-court, mais si lisse qu'on finit par ne plus beaucoup se passionner pour ses chassés-croisés sentimentaux.


Malgré tout, Tamara Drewe est un film agréable, et rafraîchissant pour l'été.


Si vous avez vu ce film, n'hésitez pas à faire part de vos commentaires !


Share on Twitter

Partager cet article
Repost0
24 juillet 2010 6 24 /07 /juillet /2010 17:00

 

Le carnet de Libération de ce 24 juillet 2010 nous annonce brièvement le décès d'Henri Montant, alias Arthur, survenu le 17 juillet dernier.

 

http://www.politis.fr/local/cache-vignettes/L465xH278/309184_4902973-montant-k125a-90853.jpg

 

Rien à voir, rassurez-vous, avec l'animateur télé du même nom. Cet Arthur là se tenait loin des spotlights. Co-fondateur de la Gueule Ouverte en 1972, il avait collaboré à de nombreux titres comme Hara-Kiri, le Charlie-Hebdo de la grande époque, le Canard Enchaîné ou Siné-Hebdo.

 

Arthur était doué d'un talent d'écriture exceptionnel. Ses papiers, d'une exemplaire concision, étaient toujours un bonheur pour le lecteur. A la Gueule Ouverte, où je débutais comme secrétaire de rédaction, ce professionnel hors-pair tapait sans fautes d'orthographes le nombre exact de signes demandé sur sa machine à écrire (c'était avant le temps du traitement de texte !).

 

Dans la vie quotidienne, Henri Montant était un homme charmant, drôle, élégant, pudique. Ce passionné de free jazz s'était un jour désolé gentiment en découvrant ma discothèque trop "pop" à ses yeux. Il avait toujours préféré la fidélité à ses idées à toute perspective "carriériste".

 

Son esprit anar et son refus du "système" le conduisirent parfois à défendre des gens peu fréquentables, comme, par exemple, ces groupes qui, au milieu des années 70, préparaient des attentats contre les centrales nucléaires. Des individus avec qui ce non-violent dans l'âme avait en réalité bien peu en commun.

 

Cliquez ici pour lire le bel hommage d'Isabelle Monin Soulié, avec laquelle Arthur dirigea la Gueule Ouverte, mis en ligne sur  Bakchich Info. L'un des rares médias avec Politis (sous la plume de Bernard Langlois) à rendre hommage à ce grand journaliste qui se sera montré aussi discret dans la mort que dans la vie...


Vous trouverez d'autres réactions et un joli texte d'Henri lui-même sur le site Charlieenchaîné.

 

On s'étonnera du silence du Monde sur le décès de l'un de ses anciens collaborateurs...

 


Partager cet article
Repost0
6 juillet 2010 2 06 /07 /juillet /2010 13:52
Des marées noires à la déforestation, les prophètes de l'apocalypse font flèche de tout bois.
 En 1965, le chanteur contestataire américain Barry McGuire avait annoncé l'apocalypse imminente dans son tube Eve of Destruction.

 

Entre crise de Cuba et conflit du Vietnam, la menace d'une guerre nucléaire hantait alors les esprits.


Quarante cinq ans plus tard, Barry McGuire nous remet le couvert avec Eve 2012, titre composé, comme l'original, par PF Sloan.

 

Dans cette nouvelle version, les dangers sont toujours géopolitiques, mais aussi écologiques.

 

 

Vos avis sont attendus sur cette Eve 2012 qui, comme le film 2012, surfe sur la vague millénariste...

 

 


 

 

Partager cet article
Repost0
26 juin 2010 6 26 /06 /juin /2010 15:32

Gaston Lagaffe est en une du dernier numéro de la revue Néoplanète, animée par Yolaine de la Bigne.



http://www.zyyne.com/cover/2374.gifLe (anti) héros de Franquin vient en effet d'être intronisé comme mascotte du très sérieux Programme des Nations-Unies pour l'environnement (PNUE).


Parallèlement, un album, La biodiversité selon Lagaffe, est édité chez Marsu Productions.


Faut-il pour autant pardonner à Gaston sa vieille voiture bardée d'autocollants écolo, mais dégageant un nuage noir de gaz d'échappement ?


Vos avis sont les bienvenus...


Share 
|

Share on Twitter

Partager cet article
Repost0